Aujourd’hui ce seraient 14% des personnes résidant en France qui auraient rédigé leurs directives anticipées.
Elles n’étaient que de 2,5% lors de la dernière enquête. L’ASP fondatrice, citée dans l’article, lance une campagne de témoignages pour sensibiliser sur l’importance pour soi et pour ses proches de réfléchir sur ses choix en fin de vie.